Comment vivre sans soutif

Il est vrai que pour celles qui ont de gros seins, ne pas porter de soutien-gorge peut être inconfortable, voire impossible. Par conséquent, s’il vous est impossible d’arrêter de les utiliser, il est important de les choisir avec soin.

• Vérifiez régulièrement la taille de votre dos et de votre poitrine, surtout pendant et après la grossesse
• Préférez des bretelles suffisamment larges et sans armature comprimée
• Préférez des matières de des fibres naturelles comme le coton au lieu de matière synthétique
• Evitez autant que possible de dormir avec et essayez de l’enlever le plus tôt possible

Le rôle du soutien-gorge

Depuis l’adolescence, on nous dit qu’il faut porter un soutien-gorge si l’on veut conserver une poitrine bien galbée. Si oui, cet écart est-il susceptible d’avoir un effet sur sa forme ? Fraîchement lancé, déjà en train de s’effondrer ?

«Non, pas du tout !» dit le Dr. Maud Bélanger, chirurgienne plasticienne. « En général, le soutien-gorge n’empêche pas la ptose mammaire. Que nous l’utilisions ou non, les ligaments de Cooper, qui maintiennent nos seins en place, s’étirent avec le temps», explique-t-elle.

Avec quels vêtements porter un soutien-gorge post-opératoire ?

Absolument tout, ils sont conçus de manière à pouvoir les mettre en toutes circonstances et avec bonheur. En robe, en t-shirt ample ou en pull col V, votre soutien-gorge post-opératoire s’accordera parfaitement à vos tenues.

Il faut avouer que le soutien-gorge post-opératoire est rarement le plus raffiné, mais il faut se dire qu’il n’est que temporaire et avant tout pour votre bien-être. Il est également difficile de trouver des ensembles postopératoires (slip, soutien-gorge postopératoire), mais cela ne doit pas être une raison pour arrêter d’utiliser ce dispositif médical.

Faut-il ou non porter un soutien-gorge ?

J’ai donc fait quelques recherches sur le sujet. Une amie m’a dit un jour qu’elle avait lu qu’il valait mieux avoir des seins plus fermes et a essayé sans succès de «convertir» toutes les filles de notre groupe d’amies à ne plus les utiliser. J’ai finalement pris plus au sérieux les conseils d’un inconnu, car c’était une femme, ce qui, je l’avoue, est un peu sexiste et pas très gentil pour mon ami en question.

Le jour où j’ai acheté un soutien-gorge

Au début, j’étais gênée de voir la forme de mes tétons à travers certains vêtements, ce qui arrivait à la plupart de mes hauts et robes d’été . Je me suis alors souvenue qu’il y a plusieurs années j’avais acheté des téterelles adhésives en silicone que je portais sous des hauts/robes que je jugeais incompatibles avec le port d’un soutien-gorge (dos nu, hauts sans bretelles, etc.). Cette idée de ne pas montrer la forme des tétons était donc bien ancrée en moi depuis longtemps, mais quand j’ai enlevé ces autocollants j’étais complètement dégoûtée. Je dois dire que ma relation avec mon corps a beaucoup changé depuis, et donc j’ai trouvé l’idée de mettre des stickers pour tétons aussi ridicule qu’agressive. Encore une fois, c’est un sentiment personnel; Je comprends parfaitement que d’autres personnes puissent utiliser ce type d’objet sans difficulté. Nous avons tous une relation très différente avec notre corps.

Ayant complètement pris l’habitude de porter un soutien-gorge, j’ai maintenant reconnu que je le trouvais assez inconfortable et que je n’avais donc plus envie d’en porter, même occasionnellement. Cependant, mon inconfort avec la visibilité de la forme de mes mamelons est resté – puisque c’est de cela qu’il s’agit, et non le fait que l’on voit mes mamelons. Pour moi, deviner la forme d’une partie du corps n’est pas la même chose que la voir. Donc, je ne voulais pas porter de téterelle ni de soutien-gorge, alors j’ai décidé d’acheter un soutien-gorge très simple qui ne comprimait ni ne flattait mes seins et pendant un moment je l’ai porté sous mes vêtements, révélant la forme de mes tétons.