Comment mettre un débardeur sans soutif

Moi non, mais parfois ça me va bien, certains vêtements sont bien plus jolis sans (le débardeur à emmanchures américaines par exemple ou la robe que je porte sur cette photo). Je précise que je ne porte que des soutiens-gorge dont je dis «je peux dormir dans l’avion si besoin» : zéro armature, zéro rembourrage, zéro coque, le truc immatériel, presque des soutiens-gorge ou bralettes (ou compte comme un soutien-gorge ;-). Et je ne l’enlève pas en rentrant chez moi, je n’en ressens pas le besoin.

Et si je ne peux pas me passer de soutien-gorge ?

Il est vrai que pour celles qui ont de gros seins, ne pas porter de soutien-gorge peut être inconfortable, voire impossible. Par conséquent, s’il vous est impossible d’arrêter de les utiliser, il est important de les choisir avec soin.

• Vérifiez régulièrement la taille de votre dos et de votre poitrine, surtout pendant et après la grossesse
• Préférez des bretelles suffisamment larges et sans armature comprimée
• Préférez des matières de fibres naturelles comme le coton au lieu de matière synthétique
• Évitez au maximum de dormir dedans et essayez de l’enlever le plus tôt possible

Arrêtez de porter un soutien-gorge : effet mode inattendu de Confinement ou véritable envie ?

« Libérez les seins ! ou «Libérez le mamelon!» », ces slogans vous sont-ils familiers ? Et pour une bonne raison! Depuis 2017, on entend beaucoup de femmes les chanter, que ce soit dans la rue ou sur les réseaux sociaux. Après le premier confinement en 2020, la libération du sein s’est enfin démocratisée grâce au #NoBraChallenge. Alors cette nouvelle habitude va-t-elle se répandre ? Que se passera-t-il si nous prolongeons l’expérience pendant la réinitialisation ? Le soutien-gorge est-il le corset du 21ème siècle, un vêtement inutile dont il faut se débarrasser ? Rien n’est moins sûr. Les ventes de lingerie, comme toute l’industrie du vêtement, ont chuté !

Enseigner sans soutien-gorge

Pendant longtemps, il m’a aussi semblé important de faire attention à mon « image » au travail – je suis professeur de lycée. En même temps, je me sentais un peu ridicule de m’habiller différemment pour le travail, surtout dans un contexte où la richesse et l’acceptation des différences, quelles qu’elles soient, sont défendues. Je me sentais aussi complètement hypocrite d’enseigner à mes étudiants l’anthropologie sociale et culturelle – une discipline dans laquelle nous sommes constamment confrontés à d’autres façons de faire, de vivre, de penser – et en même temps d’essayer de me conformer à des normes socioculturelles qui vont à l’encontre de mon bien-être. et mes convictions personnelles. Et puis un jour, les étudiantes ont décidé de célébrer la journée sans soutien-gorge, ce qui a fini par me convaincre de ne plus porter de soutien-gorge au travail aussi.

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